Jeudi 12 janvier 4 12 /01 /Jan 22:09

Après m’avoir laissé ranger la miss, chauve se baisse et pose à coté de moi une pièce de deux euros!!! Est-ce son idée, où une machiavélique pensée de Coach, je ne sais, mais le rouge de la honte me monte au visage et je réprime avec peine deux grosses larmes qui viennent se former aux commissures des yeux. Je dois absolument faire disparaître ce symbole odieux pour moi. Ma seule chance est de pouvoir l’éjecter derrière le pied d’un lavabo par un habile coup de genou. Je n’en aurai pas le temps tout de suite.

Vieille rousse apparaît. Je dis vieille, mais en fait, elle ne doit avoir qu’une dizaine d’années de plus que moi. Je lui donne entre soixante et soixante-cinq ans. Belle femme, avec une peau laiteuse comme je les apprécie beaucoup. Aura t’elle un goût sucré comme une vieille légende le dit?. Pour la dernière fois, je vous parle du regard d’inspection que toutes et tous ont eu où auront en me voyant ici pour la première fois. Cet état des lieux effectué, Vieille rousse se plante devant un miroir pour se pomponner. J’en suis malade de voir durant tout ce temps la pièce par terre à coté de moi. Mais vieille rousse pour le moment n’en a cure. Elle me fixe tout à coup, parlant pour elle-même. « Ces soirées sont toutes les mêmes, des bellâtres qui arrivent à moitié imbibés. Qui ne pensent qu’a planter leur étendard et oublient notre féminité. Il serait bon que pour une fois je bénéficie de quelques préliminaires afin de mieux profiter des tringlées à venir ».

 Sur quoi, elle relève sa jupe longue de satin vert bordée d’hermine et présente à ma bouche une merveille de poils brillants et touffus aux reflets époustouflants. Je m’offre deux secondes d’admiration avant de commencer à ouvrir un chemin à ma langue dans ce doux écrin. Il semblerait que vieille rousse ait pris une douche ce matin, mais qu’elle n’ait pu où voulu rafraîchir son intimité avant de venir. Un merveilleux parfum de lointaine marée Bretonne envahit mes narines, provoquant une érection presque douloureuse.

Ce seul moment suffirait à payer toutes les peines que j’ai eues à arriver jusque là. Ayant réussi une habile manœuvre d’approche, je léchais donc avec application l’emplacement qui me semblait le plus ètre celui du bouton d’amour. N’oubliez pas que seules les sensations reçues par mon visage me permettaient de me faire une idée de mes actions. Vieille rousse semblait, si je pouvais en juger par sa respiration, apprécier la situation. De mon coté, si le plaisir que je ressentais me faisait oublier l’inconfort de ma posture, je devais respirer un peu plus à fond de temps en temps. C’est lors d’une de ces très courtes poses, qu’elle posa se yeux sur les miens. Des yeux très beaux et très tendres de femme qui a connu la souffrance. Instantanément, elle me dit « Quelque chose te gène? ». Rougissant terriblement, je pris tout mon courage pour du regard montrer la pièce au sol. Elle se baissa, effleura mes lèvres des siennes, prit la pièce et la glissa derrière le pied du radiateur.

Mon regard devait ètre très expressif alors, car elle me dit ce dont je rêvais déjà: « Je reviendrai cette nuit ». Non, l’âge n’est pas un obstacle lorsque les phéromones s’en mèlent.

Les suivants furent deux hommes ensemble. Durand et Durant. Ils riaient fort et parlaient haut. « Tiens Durant, voici dirait-on le nouveau jouet de Madame. Pendant que tu vas pisser, je vais voir si ça peut me mettre en condition pour sauter cette vieille peau de Maud. Je suis bien obligé, c’est elle qui paye mon loyer de l’avenue Foch ». Sans attendre, il se débraguetta et me mit directement la verge dans la main gauche. Ce qui voulait dire que chaque mouvement de va-et-vient me ferait tirer sur mon collier. Son engin était de taille respectable, et permettait de comprendre, si il tenait ses promesses en érection, l’histoire du loyer. Je me mis donc au travail avec assez de bonne volonté car la chose était douce et propre. Durant vint deux secondes se faire nettoyer, c’était chaud et doux. « Je retourne là-bas, ça doit commencer à limer dûr. Bon courage avec ta Maud ».

Sans autre forme de procès, dés qu’il fut en condition optimale Durand se retira et sortit précipitamment.

Entrée en fanfare de Pittbull. «Suce, cette salope de Maud suce mais refuse d’avaler ». Pas vraiment de chance, là où j’aurais voulu commencer doucement, je tombe sur cette brute. En plus pendant que j’astique consciencieusement son braquemart peu reluisant je l’entends « Pff des cons ont viré la règle!!! ». Panique à bord!!! Heureusement, il éjacule dans ma bouche une faible quantité de sperme au mauvais goût d’alcool et oublie son idée. Je suppose que son envie maintenant de s’imbiber au « Royal Salute » est plus forte que ses pensées. Bon débarras, et épreuve réussie.

La porte s’ouvre brusquement, un type titube et s’effondre sur le lavabo. Des bruits peu appétissants, l’eau coule, le type s’ébroue, attrape une serviette et repart avec. Il va certainement s’endormir sur un canapé du grand salon où un fauteuil Voltaire de l’entrée. Y a t’il une caméra de surveillance? Où coach à t’elle l’œil à tout. Toujours est-il qu’elle arrive instantanément pour faire disparaître les dégats.

« Toujours la bite sous le bras hein, Bathory? » Et ni une ni deux, elle enferme mon sexe entre ses dents. D’abord pour une morsure relativement forte, puis quelques allers et retours de geisha. Une forte torsion du poignet autour des testicules et elle redisparait. Serait-elle une reine du sadisme??

 En attendant, la fête doit battre son plein, je n’ai aucune idée de l’heure, mais pendant un bon bout de temps je suis dans une sorte de routine. Gens qui entrent et sortent. Qui parfois sont ici comme au dernier salon ou l’on cause, et ignorent royalement ma présence.

 Une bonne vingtaine de minous en tout genre et de bites à l’avenant à nettoyer après le pipi. Quelques femmes et hommes qui regardent et tripotent mon sexe pour voir si le commun des mortels est lui aussi équipé de ces attributs. La réception ayant déjà commencé depuis longtemps, je suis enfin plus souvent mis à contribution pour la part inavouable, mais celle réelle de ma présence ici. Le fantasme.

Il est en effet vu d’ici évident que, désormais, dans la suite, on baise à bite rebattue. Même si ces dames libertines sont fort bitophiles, il m’est désormais évident que peu aiment déguster le fruit de leurs travaux fellatoires. Et il semble que le bruit se soit vite répandu que plutôt que s’essuyer avec un kleenex, un petit tour aux toilettes pour visiter la dernière découverte de Madame était bien plus agréable.

De la même façon ces messieurs si prompts à enfiler leurs engins aux dames ne semblent guère empressés à l’idée de doucement réparer les dégats faits à leurs toisons où minous ( mais alors peut-on encore appeler ceci un minou ) rasés. J’avais donc à plusieurs reprises déjà goûté la variété des arômes et saveurs de l’après-amour.

Curieusement, cet aspect du pari, «le pari » , était vite devenu une simple composante presque anodine de cette soirée. Malgré la douleur de plus en plus difficile à supporter d’une position sans variétés, de nombreux petits plaisirs venaient d’eux-mêmes s’offrir à moi. Nous devions bien à mon avis en ètre au moins à la moitié des festivités. Quelques dames, et beaucoup de ces messieurs ( dont un homme politique bien connu et un artiste sur le déclin ) étaient désormais dans un état d’imprégnation alcoolique assez avancé. Ceci ayant pour conséquences des virilités de moins en moins flamboyantes, et des désirs féminins soit pour très peu éteints ( certaines en oubliaient mes services et utilisaient le papier des toilettes ) soit pour d’autres exacerbés.

 Le manque d’ardeur des hommes les rapprochaient des toilettes où certaines, si elles ne se battaient pas pour mes services, montraient leur mécontentement si elles ne me trouvaient pas disponible. De plus en plus, le gamahuchage ne leur suffisait plus, et on me libérait une, voire les deux mains pour des caresses plus appuyées. Deux jolies blondes d’environ vingt-cinq et quarante ans venues se remaquiller avaient, m’oubliant totalement, investi un coin de la piéce pour, debout, l’une appuyée au mur s’embrasser furieusement sur la bouche et remuer frénétiquement leurs mains chacune dans la culotte de l’autre. Ceci n’arrangeait pas mes affaires, car comme beaucoup d’hommes, j’ai très profondément ancré le fantasme des lesbiennes. De plus, bien que je ne puisse me servir de la bouteille d’eau attaché comme je l’étais, je commençais à avoir une envahissante envie d’uriner et je sentais par moment, poussant la goutte de liquide spermatique amenée par l’excitation au bout de mon gland, quelques gouttes d’urine sortir sans façons. Heureusement, l’ambiance n’était pas à épier cela, et mon pantalon était bien absorbant. De plus en plus, venant se faire caresser et lécher, des femmes tripotaient un peu mon intimité. Mais on aurait dit qu’elles s’étaient passé le mot pour toujours me laisser sur ma faim.

 Il devait bien maintenant ètre quatre heures du matin selon mes estimations. Mon espace était envahi de gens qui alors que je ne suffisais plus à la demande ( il venait de me falloir fister une grande brune à demi ivre pendant que Chauve manifestement mal accueilli à la salle accaparait ma bouche pour une fellation dans les règles de l’art) se caressaient et masturbaient gaiement. Madame passa un coup d’œil par la porte. Manifestement, elle était, voyant ce spectacle contente de voir qu’un souffle nouveau courrait sur sa soirée. Elle pourrait jusqu’à nouvel ordre s’enorgueillir d’avoir renouvelé le style des distractions du groupe.

Hélas, je ne pouvais plus me retenir. C’est un véritable geyser qui tout à coup sortit de ma verge. J’avais bien fait de me retenir le plus longtemps possible, car ce spectacle était assez impressionnant, et dans la foulée, j’eus droit à des applaudissements et l’accompagnement de plusieurs hommes qui se libérèrent en riant follement sur le marbre de Madame.

Enfin détournées de leurs occupations par l’ambiance régnante, les deux lesbiennes se retournèrent pour voir, puis sans s’ètre concertées s’accroupirent ensemble pour uriner tout en conservant leurs culottes. Quel spectacle que de voir tout d’abord les culottes, une noire et une bleu marine, se colorer et s’animer de nouveaux reflets, puis voir les deux jets traverser le tissus pendant que quelques petits ruisseaux passaient sur les cotés pour humecter les cuisses bronzées, et enfin voir les dernières gouttes tomber doucement au sol. La désormais petite foule applaudit et demanda à ces dames de se faire toiletter par la langue de votre serviteur qui sentant son heure de gloire arrivée ne se fit pas prier.

 C’est juste après ce moment fort qu’une voix appela tout le monde pour champagne, gateaux et autres jeux dans la suite. Immédiatement après le départ des convives, Coach apparût, et en quelques secondes fit disparaître toute trace des instants passés ( la pièce de deux euros aussi, il n‘y a pas de petits profits). Elle alla ensuite se soulager, et en sortant, fi de la routine. Une de mes plus grosses craintes se fit jour. Coach avait fait sa grosse commission, et se présentait pour une feuille de rose salvatrice. J’eus d’abord beaucoup de mal à vaincre mon dégout, mais Coach était plutôt appétissante, ce qui aidait un peu. Finalement, elle ne m’avait pas laissé de trop gros travail, et au bout de quelques secondes, je dois dire que son goût salé était agréable. Par contre, la feuille de rose semblait ètre de son goût, et elle n’hésita pas à faire durer son plaisir. Montrant son mécontentement si je ne fouissais pas suffisamment dans son anus délicat.

 Finalement bonne âme, elle me donna enfin à boire, me rinça et m’essuya la bouche, puis me disant qu’un peu de temps allait ètre calme, elle me détacha cinq minutes pour me laisser me dégourdir les membres. Il était temps, et je me dis avoir vraiment de la chance d’ètre tombé sur des pros qui savaient jusqu’où on peut juste légèrement dépasser le maximum prévu. Chez d’autres moins éclairés je voyais maintenant que j’aurais pris un risque bien trop énorme.

 Ce n’est pas à ce moment que je pensais cela, mais ce fut le lendemain. Une envie folle de vider mes glandes séminales me tenaillait, mais Coach me surveilla jusqu’au moment où il fallut bien se remettre en position. Mais on sentait que les décrets et interdits allaient se relâcher en cette fin de nuit tout comme les menottes furent moins serrées, ainsi que le collier, et que vint un épais coussin de remplacement. «Vous allez ètre plus souvent libéré d’un bras où d’une jambe désormais Bathory, nos hôtes ont besoins d’un travail plus physique, mais vous restez totalement, et même plus qu’avant à leur entière disposition ».

Tiens, une inconnue. «  Ces c…. me font ch… tu as du entendre parler de moi!!! Et en mal!!! Je suis Maud ». Elle se jeta sur moi, se lança dans une fellation d’exception. Je n’aurais pu imaginer ce mélange de brutalité, de câlinerie, de félinité. Et surtout, bien que j’aies tenté de la prévenir par gestes elle ne ralentit que lorsqu’elle eut en bouche l’intégralité de ce que j’avais à donner. Mettant alors une main sur ma queue pour me masturber gentiment, elle avala une partie de mon sperme, puis se pencha sur moi pour partager le reste en un baiser que l’on aurait pu croire d’amour.

 «  Ces c…. ne connaissent rien aux femmes. S’ils savaient comme j’aime ce que je viens de te faire!!!! Il y en a même un qui croit que je le paye pour ses prouesses, un quasi impuissant que je loge avenue Foch et qui ne se rends pas compte que je me goinfre sur la vente en Amérique des croquis qu’il mets régulièrement à la poubelle ». «Donne moi ton mail, j’aurai besoin de toi bientôt. Si tu le veux bien ». Qu’eussiez vous fait à ma place???? Je ne me suis jamais autant appliqué à écrire. « Bon, ils n’ont encore rien vu ces poivrots, je retourne dans la cage aux lions ».

 Brune avec de merveilleux yeux verts, voici ma nouvelle visiteuse. Elle s’approche timidement. J’ai envie de l’aider, de lui parler, je n’en ai pas le droit, sauf si!! Et si «Peux-tu m’aider, je n’ose pas ». (« Je ne suis qu’un objet, je n’ai ni pensée ni âme, chaque seconde j’oublie ce que j’ai fait la seconde précédente et c’est un contrat moral dés que je quitte ces lieux, tout ce que j’ai vu, entendu, fait, est définitivement enterré au plus profond de moi-même. Toi même ne pourra rien me demander sur toi dans l’avenir. »).

 «Voilà, mon mari a peur, peur de paraître plus vicieux qu’il ne l’est. Il n’ose pas avec moi faire ce qu’il fait à ses nombreuses maîtresses. Tu as fisté mon amie, fais le pour moi ».

 Brune parut très surprise lorsque je commençais sur elle un trés tendre et léger cunnilingus. «N’aies crainte, je suis très humide et prète, sais-tu qu’il est cinq heures et demie ». Comme elle m’avait libéré les deux mains, je pus lui mettre la main gauche sur les reins, pendant que je lui embrassai le ventre et lui caressai les lévres intimes. En effet, la cyprine ne manquait pas, et je ne pus à un moment m’empêcher de me lécher les doigts, délicieuse confiserie. La situation étant claire, je commençai par trois doigts pour visiter et exciter les parois internes de Brune. Celle-ci était peut-ètre aussi pressée que moi un quart d’heure auparavant. Et autant il est vrai qu’on ne jouit bien qu’avec de bons préliminaires, autant il est vrai qu’un désir trop attendu tue le désir. J’introduisis donc un quatrième doigt, tout en faisant bien attention de caresser tout l’intérieur sans toutefois martyriser l’utérus avec le bout des doigts où les ongles. Je rentrai alors mon pouce à l’intérieur de mes quatre autres doigts, mouillai de salive le plus discrètement possible ce qui restait visible de mon poing. Celui-ci fut tout à coup comme happé par une aspiration intérieure. Je m’empressai de refermer un peu mon poing pour bien remplir toute la cavité, exciter l’ensemble de ce trésor de douceur tout en essayant le plus possible de focaliser sur le point G et d’éviter des douleurs au col de l’utérus. Brune me sembla tout à coup partir comme en transe, et manqua presque me faire une entorse du poignet en s’écroulant de tout son poids sur mon pauvre bras à la verticale. Je fis alors des mouvements de rotation très lents et très doux deux à trois minutes, puis retirai très lentement ma main de ce lieu de délices.

 Brune s’effondra dans mes bras et sur mes genoux et resta comme Blanche-neige endormie quelques instants. Curieusement, je n’entendais presque plus de bruits alentour. Monsieur entra alors, me détacha, laissant Brune dans mes bras.

« Bathory, je suis à la fois déçu et enchanté de cette soirée. Venez que je vous explique ». Nous sortîmes tous les trois, je déposai délicatement Brune sur un canapé. Monsieur me fit asseoir un peu plus loin. Coach une fois de plus arriva comme par miracle « Préparez un plateau de toasts, mignardises et petits fours consistant, ainsi que du champagne pour Bathory et vous, et servez moi un Jack Daniel’s ». Puis, se retournant vers moi: «  Je vous remercie bathory, vous avez sauvé notre soirée. Seule votre idée et participation ont évité le pire. Le pire étant pour nous une soirée où l’on s’ennuie et ne trouve pas de plaisir ». C’était bien beau, mais où voulait-il en venir?

 « Très tôt hier certains de nos invités ont sorti de la coke. Ordinairement on ne la voit apparaître que vers cinq heures du matin. Les effets n’en sont pas bons sur la libido de ces messieurs. Vous ne pouviez le savoir, mais seules vos prestations ont permis de ralentir un peu ce mouvement, et de mettre en joie nos femmes qui sinon auraient été fort déçues. Vous avez donc permis presque à vous seul de reculer à cette heure matinale la décision que j’aurais du sinon prendre à deux heures du matin, évacuer tout le monde ». « Mon épouse et moi même vous remercions, et vous convierons à de futures rencontres.

Vous pouvez d’autre part vous commencer un petit carnet d’adresses, je n’ai pas donné vos coordonnées n’ayant pas votre accord, mais deux où trois de nos amies aimeraient vous revoir, Coach a toutes les références ». Si vous vous souvenez des détails de cette soirée, il manquait pour moi hélas un élément d’importance. « Je vous laisse avec Coach, dont vous avez peut-ètre compris que je me réserve l’exclusivité, terminez votre collation, je vais rejoindre madame.

Ah! J’allais oublier, vous pouvez bien sûr faire appel à notre chauffeur pour rentrer, mais Vieille rousse s’est dite fatiguée et a investi la chambre d’amis. J’ai cru comprendre que vous voir la réveiller lui serait très agréable.

 Au revoir Bathory »

Que croyez vous que je fis????

 

 C’est vous qui en déciderez.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par bathory - Publié dans : foret-vierge
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